Le Dodécaèdre ou Douze cadres à géométrie variable /
Douze cadres à géométrie variable
Paul Glennon ; traduit de l'anglais (Canada) par Catherine Khordoc, sous la direction de Marc Charron et de Julie Stéphanie Normandin.
- Ottawa, ON : Les Presses de l'Université d'Ottawa, 2010.
- 365 p. : couv. ill. en coul. ; 20 cm.
- Traduction littéraire Literary Translation .
Nouvelles. Traduction de: The dodecahedron.
Dans la bibliothèque de mon père Le complot pour cacher l'Amérique Le Shéhérazade américain Les chroniques de Ténébris Le collectionneur Pourquoi il n'y a pas de pingouins ? Kepler en orbite : chapitre premier Le polygame Jeu de société Quelques coupures de presse pour mon article La dernière histoire Histoire de plagiat Postface de l'auteur Postface des traductrices et des traducteurs.
« Un jeune garçon avale les pages de cinq livres dans lesquels croit-il, se trouve le code qui pourrait permettre à un capitaine et à ses acolytes de retracer son père disparu. Afin de sauver sa vie, un explorateur se voit contraint de raconter à la tribu amérindienne qui le retient prisonnier les histoires qu’il connaît, qu’il crée ou qu’il combine. Une femme ravissante se plaît à réinventer sa propre histoire lors des soirées mondaines. Perdu sur les glaces à la dérive dans l’Atlantique Nord, un autre explorateur est tourment. Par les sempiternelles questions d’un enfant. Mais ce jeune garçon n’est-il pas celui qui a englouti des livres dans la bibliothèque ? Et cette femme qui joue des rôles n’est-elle pas le personnage d’un récit concocté par la machine à histoire mentionnée dans l’article d’une revue spécifique? Dans Le Dodécaèdre ou Douze cadres à géométrie variable, Paul Glennon manie douze genres littéraires (roman policier, journalisme d’enquête, récit d’aventure…), insufflant à chacun une part d’étrangeté pour créer douze univers distincts réunis dans une structure finement ciselée. Pour la version française de ce livre où chaque histoire apporte un nouvel éclairage sur celles qui l’avoisinent, douze traducteurs se sont livrés à leur tour au jeu des cadres à géométrie variable. » (4e de couverture)