000 07865cam a2200505 a 4500
999 _c2186
_d2186
001 000417781
003 OSt
005 20230725161600.0
008 950413s1993 fr 001 0 fre d
020 _a2010206460 (br)
024 _a9782010206467
035 9 _a641909
035 _a(OCoLC)32298050
040 _aCaQMUQ
_bfre
_cJCRC
044 _afr
055 _aPB36
_bL45
100 _aLehmann, Denis
245 1 0 _aObjectifs spécifiques en langue étrangère :
_bles programmes en question /
_cDenis Lehmann ; collection dirigée par Sophie Moirand.
260 _aVanves :
_bHachette français langue étrangère,
_c1993.
300 _a223 p. :
_bill. ;
_c21 cm.
440 _aF
440 _aRéférences
500 _aTitre au dos de la couverture: Objectifs spécifiques
504 _aComprend une bibliographie.
505 _aAvant-propos
505 _aI. L'ÉTAT DE LA QUESTION
505 _a1. Pour une approche culturelle de la communication spécialisée
_t1.1. Nécessités et difficultés d'une intégration didactique
_t1.2. Les différences de comportement dans la vie professionnelle
_t1.2.1. Le monde des affaires et les relations internationales
_t1.2.2. « Culture d'entreprise »
_t1.2.3. Incidences
_t1.3. Universalité ou spécificité de la science ?
_t1.3.1. Traditions philosophiques et traditions scientifiques
_t1.3.2. Matrices scientifiques
_t1.3.3. La culture scientifique et technique
_t1.4. Représentations de l'apprentissage et de la langue cible
_t1.4.1. Représentations de la langue cible
_t1.4.2. Représentations de l'apprentissage
_tConclusion
505 _a2. Des publics d'une extrême diversité
_t2.1. Quelques exemples, quelques paramètres
_t2.1.1. Diversité des cas
_t2.1.2. Les paramètres explicatifs principaux
_t2.2. Quelques descriptions récentes des publics
_t2.3. Des cas particuliers
_t2.3.1. Les migrants
_t2.3.2. Des publics en Afrique dite francophone
_t2.3.3. Des publics spécifiques sans objectifs spécifiques ?
_tEn résumé
505 _a3. Le poids des réalités économiques, sociales et institutionnelles
_t3.1. Quelques effets de la « demande sociale » sur la réponse didactique
_t3.1.1. Langues, économie, développement
_t3.1.2. L'Europe et les langues
_t3.1.3. Évolutions technologiques et enseignement des langues
_t3.2. Didacticiens et décideurs, une relation complexe
_t3.2.1. Les antécédents du français fonctionnel
_t3.2.2. Du discours défensif au discours diversificateur
_t3.2.3. Cinq années de priorité au français fonctionnel
_t3.2.4. Un nouveau changement de politique
_t3.2.5. Hypothèses sur une fin prématurée
_t3.2.6. Décideurs et publics spécifiques aujourd'hui
_t3.3. « Et pourtant elle tourne »
_t3.3.1. La postérité du « français instrumental » en Amérique latine
_t3.3.2. Français du tourisme et français des affaires
505 _a4. Un problème didactique ancien
_t4.1. La langue étrangère comme véhicule
_t4.1.1. Le français pour le développement
_t4.1.2. Quelques antécédents dans le traitement pédagogique
_t4.2. Les « langues de spécialité »
_t4.2.1. Les langues de spécialité et leur réseau
_t4.2.2. Une lexicographie spécialisée
_t4.2.3. Un dispositif méthodologique
_t4.2.4. Bilan et premiers éléments pour une critique
_t4.3. Le « français fonctionnel »
_t4.3.1. Une construction «en creux»
_t4.3.2. Un corps de doctrines méthodologiques
_t4.3.3. Disparités méthologiques
_t4.3.4. Des modèles a minima
_t4.3.5. Vers une critique de français fonctionnel
505 _aII. CONSTRUIRE UNE RÉPONSE DIDACTIQUE
505 _a5. Besoins langagiers et besoins d'apprentissage
_t5.1. La spécificité des spécificités
_t5.1.1. La seule vraie spécificité
_t5.1.2. Raisons d'être
_t5.1.3. Les modèles englobants
_t5.2. Incertitudes théoriques et de mise en oeuvre
_t5.2.1. Mises en garde oubliées
_t5.2.2. Points de vue critiques
_t5.3. En finir avec une approche de type systémique ?
_t5.4. La part des situations cibles
_t5.4.1. Facteur langue et facteur temps
_t5.4.2. Toute leur place mais rien que leur place
_t5.5. Qu'entendre par « besoins d'apprentissage » ?
_t5.5.1. Centration sur l'apprenant et l'apprentissage
_t5.5.2. Besoins dépendants et besoins non-dépendants
_t5.5.3. Composantes des besoins non-dépendants
_t5.6. Identification des besoins et politique de l'offre
_tEn conclusion
505 _a6. Des programmes axés sur les contenus langagiers : syllabus et curriculums
_t6.1. Des démarches aux curriculums
_t6.1.1. L'organisation d'ensemble
_t6.1.2. L'organisation du contenu
_t6.2. Des unités de langue aux unités de communication
_t6.2.1. Fondements linguistiques des approches communicatives
_t6.2.2. Le choix des unités de description
_t6.3. De la linéarité dans les systèmes
_t6.3.1. Le système d'apprentissage du Conseil de l'Europe
_t6.3.2. Munby et le « communicative syllabus design »
_tBilan : les situations cibles en question ? les systèmes en miettes ?
505 _a7. Un autre regard sur l'élaboration des programmes
_t7.1. Centrer l'enseignement/apprentissage sur autre chose que le contenu langagier ?
_t7.1.1. Construction systématique ou non
_t7.1.2. La notion problématique de « centration »
_t7.1.3. Centration sur l'apprenant
_t7.1.4. Centration sur l'apprentissage
_t7.2. Voies alternatives
_t7.2.1. Prabhu et le syllabus procédural
_t7.2.2. Le curriculum multidimensionnel canadien
_t7.2.3. L'approche intégrée de Byram
_t7.3. Une approche situationnelle dé-linéarisée
_t7.3.1. En guise de bilan : des principes généraux
_t7.3.2. Des outils pour un système
505 _a8. La place de la composante linguistique
_t8.1. Une place différente
_t8.2. ... mais une place diversifiée
_t8.2.1. Glottopolitique et analyse des contextes linguistiques
_t8.2.2. Débusquer des compétences de communication spécifiques ?
_t8.2.3. L'analyse linguistique au coeur de la démarche didactique
_t8.2.4. La visée culturelle dans l'analyse linguistique
_tBilan
505 _aBibliographie
505 _aIndex
520 _a« L'enseignement des langues étrangères aux publics dits spécifiques (en somme les publics scientifiques, techniques et professionnels) n'est pas une question très neuve. Mais c'est une question quelque peu empoisonnée, au point que l'on ne sait pas trop comment la nommer : certains emploient le terme de "langues de spécialité", tandis que d'autres parlent de "langues pour non spécialistes" (à comprendre comme "non spécialistes des langues"). On a longtemps donné la priorité au contenu, en privilégiant les caractéristiques des discours spécialisés. Puis on a construit de vastes "systèmes" centrés sur la variété des besoins des apprenants, et cela a pu s'appeler le "français fonctionnel". Aujourd'hui l'on tente d'explorer d'autres voies. D'une part, on prend conscience de l'importance des facteurs culturels dans la communication spécialisée : qu'il s'agisse des échanges de travail ou de l'expression de la pensée scientifique et technique. D'autre part, on met en examen les principes d'élaboration des programmes, et l'on se demande s'il est possible de placer les conditions de l'apprentissage lui-même au cœur de la problématique, plutôt que les seuls besoins langagiers ou les caractéristiques des discours visés. » (4e de couverture)
650 _aLangues
_vÉtude et enseignement.
650 _aFrançais (Langue)
_xLangage scientifique et technique
_xÉtude et enseignement
_vAllophones.
650 _2Langues de spécialité
_vÉtude et enseignement.
700 _aMoirand, Sophie
710 _aUniversité de la Sorbonne Nouvelle
942 _2z
_cBK