La langue rapaillée : combattre l'insécurité linguistique des québécois / Anne-Marie Beaudoin-Bégin ; avec une préface de Samuel Archibald et une postface de Ianik Marcil.
Par : Beaudoin-Bégin, Anne-Marie.
Collaborateur(s) : Archibald, Samuel | Marcil, Ianik.
Éditeur : Montréal, QC : Éditions Somme toute, 2015Description :115 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm.ISBN : 9782924283837 (br); 2924283833 (br).Sujet(s) : Français (Langue) -- Québec (Province) | Français (Langue) -- Français parlé -- Québec (Province) | Sociolinguistique -- Québec (Province) | Français (Langue) -- Variation -- Québec (Province) | FLS4774Classification CDD :440.9714 | 440.9714 Ressources en ligne : Site de l'éditeur. | Vérifier auprès des bibliothèques de l'UO.Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Numéro de copie | Statut | Date d'échéance | Code à barres |
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Livres | CR Julien-Couture RC (Teaching) General Stacks | Non-fiction | MET BEA (Parcourir l'étagère) | 1 | Disponible | A029288 |
Comprend des références bibliographiques (pages 115-117).
Préface -- Les idées reçues
La langue rapaillée
Je me perds tout le temps
Quelle approche adopter ?
Norme prescriptive, norme sociale
Mais il ne coule pas de source dans les faits
On utilise ces mots, mais ils n'existent pas
Mais comment, alors, fixer la langue ?
Mais cette reconnaissance est-elle possible ?
Francophones de tous les pays
Le registre familier : aussi légitime qu'un autre
Et la langue écrite, elle ?
Changer la perception de l'écrit
Les prescriptifs outrepassent leurs droits
Une petite histoire de hockey
Quand les prescriptifs s'adonnent à la description
Et que dire des archaïsmes !
D'une légende urbaine à l'autre
Le français québécois et le français du XVIIe siècle
Quelques faux anglicismes
Le « Dictionnaire » québécois
Une blague plate
Ça l'a l'air, donne-moi z'en et il peut-tu
Liberté et variation
Et je n'ai pas encore parlé du joual
Le salon de ma grand-mère
Postface -- Cette langue que nous habitons
Bibliographie
« Le français québécois est souvent présenté comme du joual, comme du mauvais français, comme un simple registre populaire qui contrevient au contenu des sacro-saints ouvrages de référence. Cela entache l'identité québécoise d'une profonde insécurité. Mais si on le présente dans toute sa complexité, comme une variété de langue légitime et pour laquelle les locuteurs ont un droit de regard, on nettoie cette tache. On donne à l'identité québécoise tout le lustre dont elle a besoin pour s'épanouir. Cette langue, elle est à nous. Récupérons-en toutes les dimensions, toutes les variations, tous les jugements et disons : "Voilà notre langue rapaillée." » (4e de couverture)
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