Entre l'étreinte de la rue et la fièvre des cafés : Récit / Pierre Raphaël Pelletier.
Par : Pelletier, Pierre Raphaël [Auteur].
Collection : Indociles. Éditeur : Ottawa : Éditions David, 2012Description :145 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm.ISBN : 9782895972075 (br).Sujet(s) : Marche (Exercice) -- Romans, nouvelles, etc | Bars -- Romans, nouvelles, etc | Cafés -- Romans, nouvelles, etc | Écrivains -- Romans, nouvelles, etc | Peintres -- Romans, nouvelles, etc | B1 | Intermédiaire | IntermediateClassification CDD :C843.54 | 843.914 | 843.914 Ressources en ligne : Site de l’éditeur. Résumé : « Bête du pouvoir. Bête tout court. Entre l’étreinte de la rue et la fièvre des cafés, à écrire, à lire, à peindre, à marcher, à vadrouiller, à parler avec mes enfants, mes amis, les corneilles et les petites bêtes autour de moi, j’ai espoir qu’un jour toute cette beauté l’emportera sur le pouvoir de la bêtise, en commençant par la mienne. Bras-dessus, bras-dessous, je respire mieux à nicher dans le maquis. […] Sans autre exutoire que la marche, je parcours à pied les rues quiètes ou en retrait, les chemins de travers, les ruelles par lesquelles se succèdent les dérives vers d’autres cieux plus dégagés. Pas à pas, je marche à me narrer, à m’égarer, à m’ignorer, à me rapprocher du prochain jour à marcher. Je gîte en moi à marcher. » (4e de couverture)Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Statut | Notes | Date d'échéance | Code à barres |
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Livres | CR Julien-Couture RC (Learning) General Stacks | Non-fiction | LEC PEL 2 (Parcourir l'étagère) | Disponible | Rayon Leclerc 2 | A030036 |
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LEC OST 2 L'artiste à mi-temps / | LEC PAG 2 Pageboy : | LEC PAR 3 Amour, sexe et terre promise : | LEC PEL 2 Entre l'étreinte de la rue et la fièvre des cafés : | LEC PEL 2 Les dépossédés du Vieux-Hull : | LEC PEN 2 Comme un roman / | LEC PER 2 La fontaine de Barenton / |
« Bête du pouvoir. Bête tout court. Entre l’étreinte de la rue et la fièvre des cafés, à écrire, à lire, à peindre, à marcher, à vadrouiller, à parler avec mes enfants, mes amis, les corneilles et les petites bêtes autour de moi, j’ai espoir qu’un jour toute cette beauté l’emportera sur le pouvoir de la bêtise, en commençant par la mienne. Bras-dessus, bras-dessous, je respire mieux à nicher dans le maquis. […] Sans autre exutoire que la marche, je parcours à pied les rues quiètes ou en retrait, les chemins de travers, les ruelles par lesquelles se succèdent les dérives vers d’autres cieux plus dégagés. Pas à pas, je marche à me narrer, à m’égarer, à m’ignorer, à me rapprocher du prochain jour à marcher. Je gîte en moi à marcher. » (4e de couverture)
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