La littérature du vacuum : genèse de la littérature franco-ontarienne / Gaston Tremblay.
Par : Tremblay, Gaston [auteur].
Collection : Voix savantes. Éditeur : Ottawa, ON : Les éditions David, 2016Description :418 p. : couv. ill. en coul. ; 23 cm.ISBN : 9782895975373 (br).Sujet(s) : Littérature canadienne de langue française -- Canada -- Ontario (Canada) | Littérature canadienne de langue française -- Canada -- Ontario (Canada) -- 20e siècleAutre classification : 848.992. Ressources en ligne : Site de l'éditeur. Gaston Tremblay a mené une longue carrière dans les arts, la culture et l’enseignement. Il a notamment été le directeur général et littéraire des Éditions Prise de parole (1978-1988) et a enseigné dans différentes universités en Ontario et au Québec avant de se consacrer entièrement à l’écriture. Natif de Sturgeon Falls, dans le Nord de l’Ontario, il a été draveur, pileur de planches et mineur. Sa poésie reste imprégnée de ses premières expériences. Comme poète, essayiste et romancier, Tremblay a signé plus une quinzaine d’ouvrages, dont le roman Le grand livre (Prise de parole, 2012), et l’essai La littérature du vacuum (Éditions David, 2016). Il vit présentement à Montréal.Résumé : « La littérature franco-ontarienne est un phénomène qui date des années 1970 et dont nous ne pouvons retracer les origines au-delà de sa naissance. Certes, elle partage le même tronc que les autres littératures francophones du Canada mais, contrairement à la littérature québécoise, elle n’est pas l’héritière de l’institution littéraire canadienne-française. Complétant la typologie institutionnelle de François Paré, qui oppose les petites aux grandes littératures, Gaston Tremblay propose ici une troisième catégorie, les littératures du vacuum, lesquelles existent dans un vide social, là où certains champs du pouvoir sont atrophiés, voire inexistants. Tout y est en chantier, tout y est liberté, tout y est à faire. Les limites de l’exiguïté sont en ces lieux remplacées par l’infini de l’espace à conquérir. »Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Numéro de copie | Statut | Date d'échéance | Code à barres |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Livres | CR Julien-Couture RC (Teaching) General Stacks | Non-fiction | MET TRE (Parcourir l'étagère) | 1 | Disponible | A030765 |
Parcourir CR Julien-Couture RC (Teaching) Étagères , Localisation: General Stacks , Code de collection: Non-fiction Fermer l'étagère
MET TRA Training Foreign Language Teachers : | MET TRA Language in Language Teacher Education / | MET TRE Vocabulaire et apprentissage d'une langue seconde : | MET TRE La littérature du vacuum : | MET TUR From the Classroom : | MET TUR From the Classroom : | MET UR Teaching Listening Comprehension / |
Notes bibliogr.. Bibliogr. p.[405]-418.
Gaston Tremblay a mené une longue carrière dans les arts, la culture et l’enseignement. Il a notamment été le directeur général et littéraire des Éditions Prise de parole (1978-1988) et a enseigné dans différentes universités en Ontario et au Québec avant de se consacrer entièrement à l’écriture. Natif de Sturgeon Falls, dans le Nord de l’Ontario, il a été draveur, pileur de planches et mineur. Sa poésie reste imprégnée de ses premières expériences. Comme poète, essayiste et romancier, Tremblay a signé plus une quinzaine d’ouvrages, dont le roman Le grand livre (Prise de parole, 2012), et l’essai La littérature du vacuum (Éditions David, 2016). Il vit présentement à Montréal.
« La littérature franco-ontarienne est un phénomène qui date des années 1970 et dont nous ne pouvons retracer les origines au-delà de sa naissance. Certes, elle partage le même tronc que les autres littératures francophones du Canada mais, contrairement à la littérature québécoise, elle n’est pas l’héritière de l’institution littéraire canadienne-française. Complétant la typologie institutionnelle de François Paré, qui oppose les petites aux grandes littératures, Gaston Tremblay propose ici une troisième catégorie, les littératures du vacuum, lesquelles existent dans un vide social, là où certains champs du pouvoir sont atrophiés, voire inexistants. Tout y est en chantier, tout y est liberté, tout y est à faire. Les limites de l’exiguïté sont en ces lieux remplacées par l’infini de l’espace à conquérir. »
Il n'y a pas de commentaire pour ce document.