365 jours, 1000 fautes / Anne Fonteneau.
Par : Fonteneau, Anne.
Éditeur : Montréal, QC : Les éditions JFD, 2021Description :513 p. : ill. ; 28 cm.ISBN : 9782897991005 (br); 2897991003.Sujet(s) : Médias et langage -- Québec | Français -- Québec -- Fautes | Français -- Québec | Journalisme -- Québec -- Art d'écrire | Communication dans l'administration publique -- QuébecRessources en ligne : Site de l'éditeur.Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Numéro de copie | Statut | Date d'échéance | Code à barres |
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Livres | CR Julien-Couture RC (Teaching) General Stacks | Non-fiction | CMP FON (Parcourir l'étagère) | 1 | Disponible | A029666 |
Introduction
PHRASES PROBLÉMATIQUES
Automne -- Septembre 2018 -- Octobre 2018 -- Novembre 2018
Hiver -- Décembre 2018 -- Janvier 2019 -- Février 2019
Printemps -- Mars 2019 -- Avril 2019 -- Mai 2019
Été -- Juin 2019 -- Juillet 2019 -- Août 2019
CORRECTIONS ET EXPLICATIONS Automne -- Septembre 2018 -- Octobre 2018 -- Novembre 2018
Hiver -- Décembre 2018 -- Janvier 2019 -- Février 2019
Printemps -- Mars 2019 -- Avril 2019 -- Mai 2019
Été -- Juin 2019 -- Juillet 2019 -- Août 2019
"Cet ouvrage est le résultat d’un travail de fourmi (ou de « rat des médias ») d’une année où, chaque jour sans exception, l’auteure a épluché des articles de journaux québécois parus sur Internet. L’information, plus que jamais accessible, devient facilement la référence écrite, gratuite, opulente. Si les mises en garde contre les « fake news » deviennent légion, celles analysant leur qualité linguistique le sont moins. Nos yeux et nos cerveaux peuvent-ils s’y fier comme référence? La popularité de logiciels comme Antidote, l’accès constant aux outils de l’OQLF, la présence de réviseurs et réviseures linguistiques pourraient (devraient?) assurer l’absence d’erreurs « de base » dans les textes publiés. Et pourtant… Ces 1 000 erreurs détectées, corrigées et expliquées nous montrent combien la langue française peut être difficilement maîtrisable, combien les erreurs sont courantes et peuvent passer inaperçues. Il ne s’agit pas ici de pointer qui que ce soit du doigt, mais de présenter un portrait, partiel et instantané, de ce que nous lisons chaque jour, de ce que nous imprimons sur papier, dans notre tête et dans notre mémoire. Fait-on plus de fautes qu’avant? Est-ce que « c’était mieux autrefois »? Là n’est pas l’objet de ce travail. On écrit plus, on publie plus. Les occasions de commettre des erreurs sont plus nombreuses que jamais. La plupart des fautes trouvées sont facilement corrigeables, étudiées du primaire à l’université. Enseignants, journalistes, parents et langagiers peuvent y recourir pour trouver des exemples et des explications : ce qui se comprend s’oublie moins. » (4e de couverture)
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