De tout petits cris serrés les uns contre les autres / Marie Clark.
Par : Clark, Marie.
Collection : Romanichels. Éditeur : Montréal, QC : XYZ éditeur, 2019Date du droit d'auteur : ©2019Description :228 pages ; ill. ; 22 cm.ISBN : 9782897721541; 2897721545.Sujet(s) : Hospices (Terminal care) -- Fiction | Volunteers -- Fiction | Bénévoles dans les soins en phase terminale -- Romans, nouvelles, etc | Bénévoles -- Romans, nouvelles, etc | B2-C1 (CEFR) | Intermédiaire fort / avancé faibleRessources en ligne : Site de l'éditeur. Résumé : « La voisine est partie durant la nuit. Elle a glissé de l’autre côté sans faire de bruit. Julie n’y peut rien, ne peut que nourrir ses mésanges. Mais dans sa gorge enfle une boule dure : le deuil d’un vieil ami, qu’elle n’a pas su accomplir. Comment arriveras-tu à respirer s’il se tait en toi? Pourtant, il doit être possible de réussir cette traversée. Si la poésie lui a offert les mots pour habiller la mort, c’est en s’immergeant dans le réel, en « bénévolant » auprès des pensionnaires d’une maison de soins palliatifs, que Julie ressentira dans ses os une voie possible : faire son deuil, c’est mettre son mort quelque part qui ne soit pas partout. Un kaléidoscope de portraits colorés nous donne à voir ces gens qu’elle côtoie pendant un court laps de temps. Car, à l’évidence, quand on arrive à la maison Le Vitrail, on vit très fort, mais plus très longtemps. On vit des jours marquants, d’une grande richesse. Rien n’est en effet plus précieux que ce qui va cesser. » (4e de couverture) / "The neighbor left during the night. She slipped on the other side without making any noise. Julie cannot help it, can only feed her chickadees. But in her throat swells a hard ball: the mourning of an old friend, whom she did not know how to accomplish. How will you manage to breathe if he is silent in you? However, it must be possible to make this crossing. If poetry has offered her the words to dress death, it is by immersing herself in reality, by "volunteering" with the residents of a hospice, that Julie will feel in her bones a possible path: Grieving is putting your death somewhere that isn’t everywhere. A kaleidoscope of colorful portraits shows us the people she meets for a short time. Because, obviously, when you get to Le Vitrail, you live very long, but not very long. These are important days of great wealth. Nothing is more precious than what will stop."Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Numéro de copie | Statut | Date d'échéance | Code à barres |
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Livres | CR Julien-Couture RC (Learning) General Stacks | Fiction | LEC CLA 2-3 (Parcourir l'étagère) | 1 | Disponible | A029728 |
« La voisine est partie durant la nuit. Elle a glissé de l’autre côté sans faire de bruit. Julie n’y peut rien, ne peut que nourrir ses mésanges. Mais dans sa gorge enfle une boule dure : le deuil d’un vieil ami, qu’elle n’a pas su accomplir. Comment arriveras-tu à respirer s’il se tait en toi? Pourtant, il doit être possible de réussir cette traversée. Si la poésie lui a offert les mots pour habiller la mort, c’est en s’immergeant dans le réel, en « bénévolant » auprès des pensionnaires d’une maison de soins palliatifs, que Julie ressentira dans ses os une voie possible : faire son deuil, c’est mettre son mort quelque part qui ne soit pas partout. Un kaléidoscope de portraits colorés nous donne à voir ces gens qu’elle côtoie pendant un court laps de temps. Car, à l’évidence, quand on arrive à la maison Le Vitrail, on vit très fort, mais plus très longtemps. On vit des jours marquants, d’une grande richesse. Rien n’est en effet plus précieux que ce qui va cesser. » (4e de couverture) / "The neighbor left during the night. She slipped on the other side without making any noise. Julie cannot help it, can only feed her chickadees. But in her throat swells a hard ball: the mourning of an old friend, whom she did not know how to accomplish. How will you manage to breathe if he is silent in you? However, it must be possible to make this crossing. If poetry has offered her the words to dress death, it is by immersing herself in reality, by "volunteering" with the residents of a hospice, that Julie will feel in her bones a possible path: Grieving is putting your death somewhere that isn’t everywhere. A kaleidoscope of colorful portraits shows us the people she meets for a short time. Because, obviously, when you get to Le Vitrail, you live very long, but not very long. These are important days of great wealth. Nothing is more precious than what will stop."
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