Okinum : théâtre / Emilie Monnet ; postface de Marie-Hélène Constant.
Par : Monnet, Emilie [auteure].
Collaborateur(s) : Constant, Marie-Hélène [Postface].
Collection : Scène_s. Éditeur : Montréal, QC : Les Herbes rouges, 2020Description :82 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm.ISBN : 9782894197165 (br).Sujet(s) : A2-B1 | Faux débutant | Intermédiaire faible | High-Beginner | Low-IntermediateGenre/Forme :Théâtre (genre littéraire) canadien de langue française.Ressources en ligne : Site de l'éditeur. | Vérifier auprès des bibliothèques uOttawa.Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Numéro de copie | Statut | Date d'échéance | Code à barres |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Livres | CR Julien-Couture RC (Learning) General Stacks | Fiction | LEC MON 1-2 (Parcourir l'étagère) | 1 | Disponible | A030174 |
Contient des passages en anishnaabemowin, traduits p. 79-82.
Prologue : In Dream -- 1. La petite chasse -- 2. Le premier rêve du castor -- 3. Un barrage dans la gorge -- 4. Un p'tit quelque chose dans la gorge -- 5. La peur -- 6. Le rêve récurrent du castor -- 7. Les dents du castor -- 8. L'art de faire des marques sur l'écorce -- 9. Les colères de ma mère -- 10. Le déluge -- 11. Healing Song (Inside the Lodge) -- Épilogue : Beavers Will Save the World -- Postface : Rituelles
« Émilie a un barrage dans la gorge, un cimetière d’ossements d’arbres (okinum). Un castor géant lui apparaît en songe: c’est un guide offrant sa médecine. Comment dire «aide-moi à me guérir» en anishnaabemowin? Au centre d’une scénographie envoûtante, la jeune femme cherche à déchiffrer le message du castor. En remontant le courant de son ADN, elle fait émerger les voix et les savoirs enfouis à même son corps. Les rêves sont le langage qui permet de communiquer avec les ancêtres, qui affine l’intuition. Expérience immersive en trois langues, Okinum invite au théâtre un pouvoir cérémoniel. Émilie Monnet s’élève au-dessus du barrage pour célébrer ses ancêtres et la force du rêve qui l’habite. C’est par la mémoire que passe la guérison. Le texte est suivi d’une courte postface dans laquelle l’écrivaine et chercheuse Marie-Hélène Constant, en évoquant son expérience comme lectrice et enseignante non autochtone, engage un dialogue avec cette pièce où "s’érige la vie fragile et forte". » (4e de couverture)
Il n'y a pas de commentaire pour ce document.